MONSIEUR BROUARD

Una cosa lleva a la otra.
“Les enfants du paradís” me ha devuelto a la Alianza Francesa del boulevard Raspail donde, en uno de los julios más calurosos de la historia, Monsieur Brouard nos habló del funcionamiento de un sistema democrático, de un Paris multirracial alejado de los circuitos turísticos y nos enseñó a cantar canciones de Piaf, de Brassens de Jean-Baptiste Clêment, y de Prévert y Kosma.

LES FEUILLES MORTES (Jacques Prévert / Joseph Kosma)

Oh, je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours hereux où nous étions amis
Dans ce temps-là la vie etait plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujord’hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je ne pas oublié…
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi.
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l’oubli
Tu vois je ne pas oublié
La chanson que tu me chantais
C’est un chanson che nous ressemble
Toi tu m’aimais, et je t’aimais
Nous vivions tous les deux ensemble
Je que t’aimais, toi qui m’aimais
Mais la vie separe ceux qui s’aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sous le sable
Le pas des amants desunies.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi.
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
Je t’amais tant tu était si jolie
Comment veux tu que je t’oublie?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui.
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l’entendrai!
C’est un chanson che nous ressemble
Toi tu m’aimais, et je t’aimais
Nous vivions tous les deux ensemble
Je que t’aimais, toi qui m’aimais
Mais la vie separe ceux qui s’aiment
Tout doucement sans faire de bruit
Et la mer efface sous le sable
Le pas des amants desunies.

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