Critique de La Vie Devant Soi – Romain Gary (Èmile Ajar)

Cette année nous avons ce livre comme une des lectures à choisir du cours.
Le sujet principal de cette histoire c’est l’amour inconditionnel, notamment à travers la relation entre Momo, un jeune garçon arabe, et Madame Rosa, une
vieille femme juive et ancienne prostituée. Les relations humaines, les liens entre les voisins et la solidarité sont également importants. De même, le fait de vieillir et, finalement, les différentes religions et surtout la vision du monde d’un garçon de quatorze ans qui porte une lourde valise émotionnelle.

Momo est un garçon arabe de quatorze ans, fils d’une prostituée, qui ne connait pas ses parents et qui vit avec Madame Rosa, une ancienne prostituée juive qui accueille illégalement des fils de prostituées pour qu’ils ne soient pas attrapés par l’assistance sociale.

Madame Rosa a plusieurs maladies et sa tête commence à ne pas bien tourner, mais elle va quand même faire un tas de choses, même mentir, pour protégerMomo. De la même façon, Momo, avec l’aide d’un docteur et de plusieurs voisins et de gens connus, va s’occuper de Madame Rosa, la nourrir, faire sa toilette et finalement l’empêcher d’être envoyée à l’hôpital, comme c’était son
souhait. Il l’accompagnera, comme dit le quatrième de couverture du livre, jusqu’à la mort et même au-delà de la mort.

Comme appréciation personnelle, je peux dire que j’ai vraiment aimé ce livre. Ce qui m’a paru très intéressant et émotif c’est l’histoire qui est racontée, maissurtout la voix narrative du protagoniste qui, à mon avis, est très réussie. Quant aux personnages, ils sont très bien définis, même les secondaires.

D’autre part, ce qui m’a fasciné aussi c’est la manière et le ton avec lesquels l’histoire est racontée. C’est une histoire dure, triste, et un peu mélancolique, mais il y a de l’ironie et de l’humour noir, ce qui soulage et fait sourire au milieu
de la tristesse.

En définitive, je ne connaissais ni l’auteur ni l’œuvre et elle m’a donné envie de lire d’autres romans de l’auteur. Je la conseillerais à tout le monde qui aime la bonne littérature.

Meritxell Bellmunt, élève de français B2.2

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