Merci encore, Pierre et Noemi, par cette vidéo :
Voilà la théorie par écrit avec des exemples et leur traduction à l’espagnol et aussi une affiche créé par A Cup of French très illustrative :
Merci encore, Pierre et Noemi, par cette vidéo :
Voilà la théorie par écrit avec des exemples et leur traduction à l’espagnol et aussi une affiche créé par A Cup of French très illustrative :
Un cliché, un stéréotype… Mais c’est quoi ça exactement ?
Cédric Villain, professeur d’arts plastiques, a réalisé Cliché ! La France vue de l’étranger, un court-métrage d’animation listant, avec humour, les stéréotypes sur la France et les Français. Pour ceux qui ne la connaissent pas, en voici la présentation de l’auteur, extraite de son site.
Et maintenant c’est le moment de regarder la vidéo :
Au cas où vous voudrez regarder la vidéo avec des sous-titres en espagnol cliquez ici.
Voici une activité de compréhension orale créée par Macarena del Barrio sur la vidéo (niveau A2) :
Et maintenant, quoi de mieux que ces petites cartes toutes simples pour mieux comprendre notre pays voisin et surtout ses habitants. Voilà certains clichés et un peu d’humour.
France vue par les habitants du Nord de la France
France vue par les habitants du Sud de la France
France vue par un paysan isolé
France vue par les parisiens
La France vue par les chinois
Illustration de Camille Skaznyski
Aujourd’hui c’est le 2 février, le jour de la Chandeleur, appelée aussi la Fête des Chandelles. Tous les ans, la tradition veut que l’on prépare et on mange des crêpes. Au sarrasin, au froment, sucrée, salée… Il y en a pour tous les goûts. Une tradition qui se célèbre en France, mais aussi au Luxembourg, en Belgique ou en Suisse. Mais pourquoi des crêpes ?
Comme vous venez de voir, cette tradition est très ancienne. À ses premières origines, la Chandeleur était une fête païenne qui marquait le moment où les jours commencent à s’allonger plus rapidement. Au temps des Romains, les gens célébraient le retour du soleil en organisant des marches aux flambeaux, puis en installant des chandelles dans leurs maisons. Elles dégustaient alors des crêpes dont la forme ronde et la couleur dorée symbolisaient le soleil.
À partir du Ve siècle, les catholiques ont commencé à fêter la Chandeleur exactement 40 jours après Noël. C’est le pape Gélase 1er qui l’institua chaque 2 février en distribuant des galettes de céréales aux pèlerins arrivant ce jour-là à Rome. Les galettes de céréales se seraient, au fil des années, transformées en crêpes.
La tradition de manger des crêpes en famille ou entre amis est liée à la superstition qu’elles portent bonheur et richesse. Et oui: dans la tradition on fait sauter les crêpes de la main droite en tenant une pièce d’or (ou de monnaie) dans la main gauche. La crêpe doit atterrir correctement dans la poêle, ce qui amènera la prospérité toute l’année.
Si vous voulez préparer des crêpes à la maison…
Et maintenant faites des crêpes avec Pauline. Cliquez sur l’image, choisissez les bons ingrédients, les bons ustensiles et complétez le texte.
Voilà encore une autre recette pour préparer des crêpes, celle-ci à écouter.
Le 11 février, les étudiants de 3ème vont aller au théâtre pour voir Notre Dame de Paris, un roman de Victor Hugo.
Mais que savez-vous à propos Victor Hugo ? C’est un écrivain français du XIXe siècle. Né à Paris en 1802, ce poète, dramaturge, écrivain et homme politique est considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française. En 1841 il est élu à l’Académie française à Paris. Ses œuvres sont très diverses : romans, poésie, pièces de théâtre… Ses romans les plus connus sont Les Misérables (1862) et Notre-Dame de Paris (1831). Il est mort en 1885.
Connaissez-vous l’histoire de Notre Dame de Paris ? Le titre fait référence à la cathédrale de Paris, Notre-Dame, qui est un des lieux principaux de l’intrigue du roman. C’est l’histoire immortelle d’ Esméralda la bohémienne, qui en compagnie de sa chèvre danse et joue du tambourin dans les rues de Paris afin de subsister. Jusqu’à qu’elle soit condamnée à la pendaison, accusée d’avoir assassiné le capitaine Phoebus son aimé. Cependant, le bossus Quasimodo sonneur de Notre-Dame, qui derrière sa difformité cache un coeur sensible et assoiffé d’amour, luttera pour sauver la gitane. Notre Dame de Paris c’est, donc, une recréation du mythe de la belle et la bête et l’un des monuments de la littérature française.
Voilà le personnages principaux de l’histoire :
Esmeralda : Très belle gitane, elle est courtisée par Phoebus de Châteaupers, le capitaine de la garde, par Quasimodo, le difforme sonneur de cloches, et par Claude Frollo, l’archidiacre.
Quasimodo : Abandonné par ses parents alors qu’il avait quatre ans à cause de sa difformité, il a été élevé par Frollo. Borgne, sourd et boiteux, il tombe amoureux de la belle Esméralda qui est alors éprise de Phoebus de Châteaupers. C’est un personnage complexe, qui apparaît au début du roman comme un monstre sans coeur.
Claude Frollo : Archidiacre, il a élevé Quasimodo et l’a fait sonneur de cloches. Il est déchiré par son amour pour Dieu et celui qu’il voue à Esméralda.
Phoebus de Châteaupers : Capitaine de la garde, il est épris de la gitane Esméralda, malheureusement pour lui, il est déjà fiancé à Fleur-de-Lys, qui s’avère très jalouse de sa rivale.
Pierre Gringoire : Poète, il est sauvé de la pendaison par Esméralda qui accepte de se marier avec lui mais toutes ses pensées vont pour sa chèvre.
Fleur-de-Lys : Fiancée de Phoebus, elle est très jalouse d’Esméralda.
Mireia Corral, étudiante de 3ème, nous a fait cette présentation sur le roman Notre Dame de Paris.
Ici je vous présente une chanson interprétée par Bruno Pelletier et qui fait partie de la comédie musicale franco-canadienne “Notre Dame de Paris” :
Sûrement, en connaissant cette histoire vous avez tous pensé au classique d’animation de Disney Le bossu de Notre Dame , une belle adaptation cinématographique du roman Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, dont la bande originale est aussi magnifique que les images.
Continuons avec les règles de prononciation en français. On a toujours dit qu’en général, le « e » final est muet, c’est-à-dire, on ne prononce pas le « e » en fin de syllabe (nous appelons le docteur) ou en fin de mot (la table). Or, « que », « de » et « le » ce sont des exceptions à cette règle. Au cas où cet “e” est précédé d’une consonne telle que « d, g, p, s, t, x o z », que dans d’autres circonstances on ne prononcerait pas, cette dernière doit être prononcée. Par exemple: fourchette [furʃɛt].
Pour cet “e” qui ne se prononce pas (explications en espagnol):
Voilà une activité pour mettre en pratique le “e” final non prononcé.
Pratiquons ce son finalement avec une chanson connue de vous tous: “Frère Jacques “.