Si vite…

                        Recueil de mes poèmes
 
 
Dédié à toi,
 
         Insípida amapola,
         Raigambre en exceso causas,
Inspiras nostalgia
A quien profundamente te añora.
 
                   Nici
I
 
Le vent qui siffle ma voix
                   Doucement
Monte mes désirs
Elle est partie sans rien dire
On n’écoute pas
                   [Le silence]
Il caresse les arbres
Il fait mes yeux pleurer
Pendant que j’entend siffler ce train…
J’aime bien la chanson du mer
Chanté par les arbres.
 
                   Nici
II
 
Je me suis assis sur un banc
Du parc qu’est prés du lycée
Après avoir fini le cours
J’ai resté seul, à l’ombre de ma voix
Qu’est toujours volé par le vent osé
La peur hurle mes sentiments,
Ce que j’avais dit hier,
tout est parti je sais pas où
 
Mais ce mieux comme ceci, puis que moi,
en apprenant de penser à toi
Je me sème la trouble
J’ai peur de vous oublier
Et que vous m’oubliez aussi
Si bien que je suis sûr de ça
vous ne vous souviendrez pas plus de moi
Voici ma peur
Je t’aime, toi non plus.
 
                   Nici
III
 
Je suis absent
Parfois mon autre moi est déjà parti
Mon ombre est déjà loin.
Je sais pas
qui est-ce qui m’attendait là-bas
Je sais pas
qui est-ce qui me chassait là-bas
C’était tout un rêve.
 
                  Nici
IV
 
Je te donne ma voix
Le silence que laissent mes paroles
Humides
Enlevées par le vent
Le temps coule vers mon cerveau
En remplissant les heures perdues.
 
                   Nici
V
 
An old LP turns over the record player
when the shadow’s dark
Was dancing with light
It have their own voice
It smash the intolerable silence
as the waltz of longing
cried the broken empty time.
 
                   Nici
VI
 
Vivimos en una jungla de cristal
Creyendo ser libres
Sumergidos en lo artificial
Donde el humo y el cemento
es nuestro alimento.
Cielo sin estrellas, sin colores
Rodeados de vacías sensaciones
Sin fundamento.
 
                   Nici
VII
 
Los segundos son tiempo
Que recorren las agujas del reloj
Salas de espera.
 
                   Nici
VIII
 
Para mirar no basta con ver
Para escuchar no basta con oír
Es necesario creer
Hace falta sentir.
Para recibir, dar…
 
                   Nici
IX
 
Vi nacer los colores
En tu mirada,
Mi música: un silencio
Que susurra un te quiero
Mi luz es tu mirada
Quiero ser la razón de tu sonrisa.
 
                   Nici
X
 
Vous êtes encore dans mes souvenirs. Jamais j’oublierai me dire vôtre nom, que cour constamment par ma mémoire, au fond de ma tête.
Est-ce que suis-je dans te rêves ?
Est-ce que vous écoutez encore ma voix au plus silencieux de la nuit ?
Je sais pas ce que je dois te dire. Je suis toujours, maintenant, avec toi ; dans chaque cheveu blond, dans le bleu électrique de l’horizon, tes yeux.
Je vous ai aimé hier,
         Je vous aime aujourd’hui,
                   Je vous aimerai demain,
                            Toujours,
Malgré que vous ne vous souveniez pas de moi.
Seulement nous restera l’été.
 
                                     Nici
XI
 
L’œil que vous m’avez cligné
L’œil que je vous ai cligné
Les bisous que je vous ai offert
La joue que vous m’avez caressé
Les lèvres que tous les deux avons goutté
Les regards que nous avons partagé
Les baisers que quelqu’un a détesté
L’œil que vous m’avez cligné
Les larmes que quelqu’un a versé
Le miroir dans lequel vous vous regardez
La distance que nous sépare de plus en plus
L’allumette que le vent éteint
Voilà que nôtre amour s’envole.
 
                            Nici

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